Le vieux ladakhi tient d’abord a verifier l’interieur de la bouche.
Il suspecte un empoisonnement au “laddar”, nom ladakhi donne a une sorte de fleur sauvage violette qui pousse en altitude et qui peut tuer un cheval en quelques heures, comme celui rencontre pendant notre trek, dechiquete post- mortem par les chiens sauvages.
Le voyant bourrer son cheval de coups de pieds je lui demande de me laisser essayer une methode plus douce.
Le cheval epuise, s’ecroule quasiment sur moi jusqu’a en fermer les yeux.
Apres quelques encouragements il commence a se relever quand le vieux recommence a lui assener des coups de pieds, donc forcement il se recouche.
J’ai l’idee de lui donner de l’eau, le vieux ladakhi me conseille de lui verser une partie de ma bouteille dans les naseaux pendant qu’il le tient.
J’ai l’idee de lui donner de l’eau, le vieux ladakhi me conseille de lui verser une partie de ma bouteille dans les naseaux pendant qu’il le tient.
Je ne connaissais pas cette methode qui s’avere un peu barbare mais bougrement efficace, 10 secondes plus tard le cheval est debout.
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